En observant le versant occidental de la falaise qui borde l’Alzou à Rocamadour (photo 8), on peut voir à l’œil nu, les contours ciselés dans la roche calcaire d’un ensemble formant des pyramides qui s’élèvent vers les cieux et dont les bases s’étalent entre l’arrière du temple au lion, étudié au chapitre I, et l’extrémité gauche de la Maison à Marie (restaurée à la fin du XIXe siècle) construite à l’emplacement et en remplacement de l’ancien ermitage.

Pionniers dans l’édification de monuments aux proportions démesurées, leurs conceptions comme leurs dimensions surpassaient largement l’imagination de nos congénères à l’époque où elles ont été construites. Et plusieurs siècles encore après leur construction, leur réalisation reste un mystère que nos scientifiques tentent toujours d’élucider.

Nous allons étudier en détail, la première pyramide au chapitre III.